oui, les communicants aiment les étiquettes…
Vous aussi, vous en avez rêvé n’est-ce pas ? Faire converger votre message vers un raccourci bien précis pour être lu, vu et reconnu et surtout, être catégorisé comme vous l’entendez (non mais !)
Pas de pudeur ! Tambour de ville associe sans vergogne son image à un évènement #salondelamajorette … son évènement à un produit #twirlingbaton… son produit à un lieu #acoteduvestiaire et son lieu à un concept #lesplusbellesgambettesdenormandie.
Ouf, ça va mieux en le disant…
oui, les community managers aiment les anglicismes…
Sensibilité, singularité, poésie… Laissons tous ces efforts de communication derrière nous pour créer les anglicismes qui nous siéent , sans nous s’embêter avec le subjonctif du verbe seoir. Exemple : Tambour de ville crée des sites internet et les propulse avec talent sur les réseaux sociaux #yummyagency , ses clients sont des mairies #citizennetwork et des entreprises #happybusiness
Ouf, ça va mieux en le disant…
oui, les internautes aiment comprendre ce qu’ils lisent…
ah bon ?!?!!! ils ne sont pas tous fluent in English ? #moinsde120auTOEIC
et ils n’auraient pas en tête tous nos précédents propos ? #privatejoke
et ils ne comprendraient rien aux raccourcis qui nous font tellement plaisir ? #yummynetwork #happybaton
Quand le hashtag tue le hashtag !
Ben ouais… Triste constat, le hashtag est utile et efficace que lorsqu’il est utilisé avec pertinence et modération . Par exemple : pas plus de deux hashtags par phrase sur Twitter et sur Facebook … Et puis, pourquoi pas les rédiger en français ! #cavamieuxenledisant
Pas de commentaire